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 Journal de bord [Inae]

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MessageSujet: Journal de bord [Inae]   Journal de bord [Inae] EmptyLun 9 Juin - 18:37

Nom : Inae [ se prononce Inaé ]
Groupe : peuple frontalier
Race : Semi-dragon
Métier : Epéiste
Divinité : Inae considère qu’il n’est pas possible qu’il y ai quoi que ce soit comme être supérieur aux races existantes. De ce fait, elle ne croit en aucun Dieu. Elle pense simplement que les peuples ont un besoin certain de croire en quelque chose de supérieur.

Description physique : Son corps humain ressemble bel et bien aux descriptions d’un semi-dragon : Elle a les cheveux blancs et longs : elle doit souvent se les couper avec ce qu’elle trouve (explication après). Les yeux cristallins de forme d’œil de biche plutôt allongé vers l’extérieur (des petits reflets bleutés se font apercevoir). Sa taille humaine n’est déjà pas très petite : 1m70 ; alors quand elle se change de forme, elle atteint facilement le mètre 85. Ses pupilles longilignes et verticales sont rouge sang lorsqu’elle prend sa seconde forme.
Les ailes qui ornent son dos et la queue qui allonge sa silhouette sont blanches. Les écailles qui recouvrent cette surface sont placées sur une couche de duvet blanc qui ressort par quelques trous minuscules de l’écaille. L’envergure de ces ailes est de quatre mètres, et la longueur de sa queue est de plus d’un mètre 50. On remarque que lorsqu’elle prend cette forme, ses cheveux blancs poussent d’un coup, prenant au moins 10cm.

Description mentale : Inae est une personne plutôt étrange : presque trop gentille en continue, elle arrive a s'énerver à s'en rendre malade lorsque quelqu'un la titille a un endroit mal choisit. Elle ressemble un peu a "monsieur tout le monde" ne cherchant ainsi pas a se démarquer plus que ca. Elle a souvent du mal avec les gens : pas forcément asocial, mais peut être juste impatiente. Elle ne va pas taper la première si elle peut faire sans. Les choses voyantes ne la dérangent pas : une arme bien grosse, ou tout bêtement un cheval d'un mètre 85 au garrot (exemples) … Elle assume pas mal ses erreurs en se posant beaucoup de questions ( a voir dans certains cas ^^ ). Elle arrive très bien a se contredire elle même, amenant des doutes sur sa réflexion pour les autres, qui pensent parfois qu'elle est bébête. [caractère à forger encore]

Vos trois compétences de base :

- Inae pare les coups donnés par son adversaire avec une velléité impressionnante : souple et rapide, c’est comme si elle se mettait à danser en évitant de se faire toucher. Il y a comme une aura colorée qui s’émane d’elle lorsqu’elle entre dans cette espèce de mini-transe.

- Inae sait monter à cheval depuis qu’elle est toute petite. Elle a un rapport avec les chevaux qui lui est propre. Malheureusement elle a du mal encore a avoir se contact lorsqu’elle prend sa seconde forme. En effet les chevaux prennent souvent peur lorsqu’ils voient des ailes gigantesques et une queue longue d’un mètre et demi déchirer la peau de leur cavalière.

- Inae a toujours trois dés dans sa poche. Elle les a fabriqués lorsqu’elle était toute petite avec de l’os qu’elle a taillé a l’aide d’une pierre tranchante. Les dés jetés, elle arrive à dire si les ennemis sont loin ou proches. Leur faculté n’est pas encore développée, mais elle s’entraine pour voir plus que ca. Peut être qu’un jour elle prédira de grandes choses… mais ce n’est pas encore le cas. Les dés ne disent pas toujours la vérité !

Histoire, vécu : « Le noir. Les yeux sont fermés, on ne voit que du noir. L’imagination florissante, on découvre des formes inexplicables et invisibles. Elles sont colorées, floues et souvent arrondies. Ceci parce que les yeux n’ont pas de formes réelles sur lesquelles se baser. Et puis d’un coup, tout redevient noir. Obscure. Sombre. Vide. Infini. Profond et plat à la fois. Ce noir qui laisse tout penser. On peut se demander si ce noir est présent parcequ’on a les yeux fermés ? On est alors tenté d’ouvrir les yeux. De les cligner, de papillonner… Puis de se les frotter, parcequ’en effet on ne voit toujours que du noir. Quelle monotonie ! C’est un gâchis de réalité perdue au fond d’une âme. On se renfrogne, et s’assoit par terre, en cherchant à tâton un endroit sec et plutôt lisse. On essaye d’appeler, d’une phrase courte du genre « il y a quelqu’un ? » et puis finalement après plusieurs demandes, on se met a crier. On crit et les réponses sont : l’écho. Les cordes vocales sont enflées, on se renfrogne encore plus. On se tait a jamais, sachant définitivement qu’on est seul. Quelle déception. D’un coup on se dit que c’est un mauvais rêve, et qu’il ne suffit juste que de se rendormir pour pouvoir se réveiller normalement plus tard. On adopte une position allongée dans la continuité de celle assise. Nos yeux n’ont même plus besoin d’être fermés, le noir est de toutes les manières présent, et jusqu’au bout.

Le réveil nous permet finalement de conclure que ce n’est pas un rêve et la panique alors se pose entre la gorge. Un nœud à l’estomac se noue. Cette sensation de savoir qu’il n’y a personne autour de soi, qu’il n’y a rien a par du noir, ou peut être que l’on est devenue aveugle et sourd. Désespérant. Abrutissant, et surtout vil a l’esprit. On se met en quête de nouveau, se levant sur nos guibolles et marchant en longeant ce que l’on suppose être un mur. Le temps passe lentement… Si lentement qu’on dirait qu’il ne s’écoule plus de grains dans le sablier. Notre cœur accélère légèrement lorsqu’on se rend compte qu’en fait… Où que l’on regarde, il n’y a rien. Où que l’on appelle, il n’y a personne, et où que l’on aille il n’y a rien. La peut s’envahis de nous, nous jouant des tours. Toutes les questions du monde entier nous assaillent et aucune de ses questions ne trouvent de réponse. Notre esprit lacéré de tous côté se doit de tenir bon. Malgré tout il fatigue. Il ne veut se lamenter, et pourtant il n’y a plus que ca… La peur nous fait croire que le noir environnant se met à bouger. En effet le noir est considéré comme une couleur et toute couleur bouge. Elle parle, elle marche, et s’exprime. On aperçoit quelques mouvements, comme un drapé ondulant sous une brise légère. En fin de compte on se donne une claque sur la joue, parcequ’on sait très bien que ce que l’on voit n’est pas possible.

Un grondement sourd résonne et un chatouillis au niveau de l’estomac se fait palper. La faim nous accapare… Notre main droite caresse paisiblement ce ventre qui se lamente. Puis d’un coup on perçoit que quelque chose nous grimpe sur la main gauche, laissée en appuis par terre retenant notre corps assis. Ce quelque chose on l’attrape avec l’autre main. Le premier reflexe instinctif ? Renifler, puis mettre en bouche et avaler. Là, on ne se pose plus de questions, la faim est quelque chose de bien plus important que la réflexion.

Mais en fait, si ce quelque chose était bel et bien vivant ? Cela voudrait dire qu’il vient de quelque part. Et que ce quelque part ne doit pas être bien loin ! On repose la main gauche au même endroit et on attend… Et… Ca y est ! Oui ! De nouveau ce petit frôlement sur la peau ! Il vient de la gauche ! Une nouvelle force venue d’on ne sait où nous reprend : on se remet sur pied d’un petit bon et on se met a marcher a nouveau en longeant les parois les plus proches…


On se rend bientôt compte que le noir habituel est brisé, comme fendu par une raie blanche. Nos yeux souffrent de voir ce blanc si pur. Au fur et a mesure que l’on avance la douleur est de plus en plus saisissante. Bientôt le blanc prend la moitié de la surface noire. On continue, et nos pas accélèrent même jusqu'à ce mettre à trottiner. Et, ca y est. Le mur qu’on a interminablement rasé prend fin. "

" - Voici quelques lignes qu'elle a écrit lorsqu'elle était seul récement, explique l'infirmière au docteur.
- Bien. Ceci nous dit donc pourquoi elle ne se souvient pas de ses premières années.
Elle hoche la tête positivement, puis continue :
- On a trouvé qu'il était gravé dans sa chaire le mot "Inae" sur sa main droite.
Le médecin s'approchait de moi et me saisit la main. Il l'ausculta et demanda :
- Serait-ce son prénom ? Se souvient-elle de quelque chose ?
- Rien du tout. On suppose que c'est son prénom, puisqu'elle ne sait pas comment elle s'appelle. "



Niveau : [ 0/15 ]


Dernière édition par Inae le Jeu 19 Juin - 16:45, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Journal de bord [Inae]   Journal de bord [Inae] EmptyJeu 19 Juin - 16:44

Premier rapport :

Inae se situe dans les Chaines Burn, tout d'abord seule. Elle rencontre quelqu'un bien tout a fait par hasard, un grand Centaure nommé Oblius le Chaman. Ils discutent légèrement, mais un orage se prépare. Ils n'ont finalement pas le temps de dire " ouf " que l'orage éclate sur les deux hybrides. Oblius la prévient alors que des Manticores sortent souvent dans les montagnes par ce temps. Ainsi, ses dires se révèlent être exacts. Un bébé Manticore saute sur Inae qui est sous sa forme humaine une proie plus facile. Inae se fait prendre de vitesse et est sauvée par le chaman, qui écrase la bête de sa lourde massue. Une une Manticore adulte se fait alors sentir haineuse dans les alentours. La tempête fait entre temps rage avec une puissante monstre. Les deux compagnons décident de se diriger vers une grotte qu'ils avaient vu plus loin : Oblius fait monter Inae sur son dos. Il tente de sauter un ravin, et se déchire un muscle d'un antérieur. Ils tombent tous deux, de l'autre côté du ravin, laissant la manticore s'énerver à ouloir sauter à son tour. Inae voit que la grotte n'est plus très loin, à une ou deux petites minutes en vol. Ses émotions prennent le dessus, et elle se transforme ainsi sans vraiment le vouloir en semi-dragon. Elle n'a plus qu'une chose à faire : elle
vient porter Oblius, immobilisé, et le faire ainsi voler. La manticore les suit de près. Trop près. Lorsqu'Inae ralentit pour atterrir, elle se fait tirer les ailes par l'ennemie, la faisant tomber violemment. Une fois dans la grotte, Oblius fait tomber les roches de l'entrée, juste sur la bête, la tuant. Ils sont enfermés dans cette grotte, sans issue, et la tempête qui commence doucement a traverser la couche de pierre : de
l'eau goutte dans la taverne, et des galeries s'effondrent, ayant perdue le soutient de l'entrée, détruite.

Fin du premier rapport.
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